L’Hôpital civil de Strasbourg

Nous avons raconté son évolution du milieu du XIXe siècle à l’arrivée des Allemands en 1870. L’Hôpital civil de Strasbourg, dont l’origine remonte au XIIe siècle, va alors connaître une spectaculaire transformation et devenir une ville médicale et universitaire dans la ville. Je pouvais difficilement juger des avancées sanitaires, que je devinais toutefois décisives. Mais la passionnante éclosion architecturale qui en découla rythma toute la seconde partie de ma vie.

Antoine Wendling
Antoine Wendling

Pour celles et ceux qui ne me connaissent pas encore,
je suis Antoine Wendling, architecte strasbourgeois né en 1828.
Je raconte dans ces pages quelques souvenirs de ma vie professionnelle ou familiale dans la capitale alsacienne que j’ai tant aimée.
En suivant ces liens, vous pouvez mieux nous connaître, moi et ma petite famille.

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Hôpital civil et Faculté de médecine

Un embryon de Faculté de médecine remonterait au début du XVIIIe siècle. Mais on a vu combien elle peinait à s’implanter dans l’Hôpital civil et à collaborer avec lui. Pourtant, un tiers des étudiants strasbourgeois sont alors des carabins. La construction de l’École de médecine par Conrath marqua un progrès.

Mais le pas décisif, ce sont les Allemands qui le franchissent. Dès leur arrivée, une convention est signée, en 1872, qui acte la véritable naissance d’un centre hospitalo-universitaire.

Hôpital civil de Strasbourg - Élévation institut d'Anatomie
Élévation de l’institut d’Anatomie – Strassburg und seine Bauten

Comme nous l’avons raconté la semaine dernière, le coup de force des professeurs d’anatomie et de pathologie von Recklinhausen et Waldeyer donne l’impulsion pour l’installation des nouvelles structures sur l’emprise militaire.

En 1875, Berlin donne son feu vert pour l’akademische Doppelstadt, cette division de l’implantation de la nouvelle université entre le site de la porte des Pêcheurs et l’Hôpital. Hermann Eggert, l’architecte officiel, produit un plan qui prend en compte le nouvel institut d’Anatomie et préserve, évidemment, le merveilleux bâtiment Mollinger du XVIIIe siècle.

La Clinique Chirurgicale

De ce plan ambitieux, qui tentait de dessiner un campus en pleine vieille ville, presque rien ne se concrétisera. Il aurait fallu acheter bien trop de terrains privés dont les propriétaires ne veulent pas se dessaisir. Le seul pavillon sorti de terre à l’endroit prévu sera justement celui construit par Eggert, la Clinique Chirurgicale, sur les instructions du professeur Lücke.

On dit que ce dernier était un acharné de travail. On ne peut guère en douter, si l’on en juge par la villa qu’il a pu se faire construire par Gustav Ziegler en 1885. Une telle demeure, sur l’axe impérial… Il n’en profita guère, puisqu’il mourut à 64 ans, en 1894. Comme quoi, les cordonniers etc.

La nouvelle Clinique Chirurgicale d’Eggert est un bel édifice, à la fois néo-classique et italianisant, avec ses terrasses couvertes. On dirait presque un hôtel de luxe. Ses trois corps lui donnent un aspect palatial, bien sûr renforcé par le fronton sculpté du bâton d’Esculape, pris dans des circonvolutions végétales, et surmonté de nobles acrotères.

La clinique peut accueillir 60 hommes, 36 femmes et 28 enfants.

L’ensemble s’organise au-delà d’un pavillon détaché, à la fois salle d’opération et amphithéâtre de cours. Dans cet espace inondé de lumière par sa verrière sommitale, on comprend pleinement le concept d’hôpital universitaire. Même si je n’avais aucune envie qu’on me charcute devant des étudiants curieux.

Hôpital civil de Strasbourg - Plans de la clinique chirurgicale
Plans du rez-de-chaussée et du 1er étage de la Clinique Chirurgicale (SusB)

L’armée cède 3 ha à l’Hôpital civil de Strasbourg

À l’achèvement de la Clinique Chirurgicale, en 1880 — en même temps que mon quai Kellermann —, l’armée a changé son fusil d’épaule. Sur recommandation du chancelier Bismarck, sollicité par le curateur de l’Université, elle accepte de céder le bastion 5, en plus du 4 déjà occupé par l’Anatomie. Mais aussi tout l’espace compris entre les deux. À charge, pour le service de fortifications, de rectifier le tracé du rempart à cet endroit.

Strasbourg - Plan-relief 1863 bastions 4 et 5
Les bastions 4 et 5 cédés à l’Hôpital civil, sur le plan-relief de 1863

Sur les trois hectares ainsi gagnés, Eggert prévoit les instituts de Physiologie biologique et de Physiologie chimique, ceux de Psychiatrie et de Gynécologie.

L’institut de Physiologie biologique

Ô divine surprise, après Albert Brion pour l’institut d’Anatomie, on confie les travaux de l’institut de Physiologie botanique à un autre architecte local : Émile Salomon. Après avoir beaucoup œuvré pour et autour du Temple Neuf, autour de Saint-Thomas aussi, il vient d’achever la construction de l’hôpital local de Bouxwiller.

Ici, c’est le professeur Goltz qui dicte les impératifs. Il se base sur le modèle de l’institut de physiologie de Leipzig. On prévoit même une Hunde Veranda. Je préférais ne pas savoir ce que l’on faisait des pauvres bêtes.

Salomon privilégie le style “sobre et digne” qui apparaît comme la charte des nouveaux pavillons. L’avant-corps central semble répondre à l’espace vide pratiqué entre les deux ailes de l’institut d’Anatomie voisin. Dans les deux cas, la Renaissance italienne inspire les architectes avec un certain bonheur.

Là encore, l’amphithéâtre constitue le cœur du bâtiment, largement éclairé par trois grandes baies vitrées.

Hôpital civil de Strasbourg - Ancien institut de physiologie
L’arrière du bâtiment, aujourd’hui institut d’hématologie et d’immunologie (AW)

L’institut de Chimie physiologique

Toujours en cette année 1884 s’achève l’institut de Chimie physiologique, placé symétriquement au précédent, sur le flanc ouest de l’institut d’Anatomie. Albert Brion en est à nouveau l’auteur, sur les instructions du professeur Felix Hoppe-Seyler, qui habitait au 1, rue Saint-Thomas, la belle maison d’angle avec le quai. J’apprenais, avec respect, qu’il était l’un des fondateurs de la biochimie et le précurseur de la biologie moléculaire.

Ce qui m’impressionnait grandement, même si je n’avais aucune idée du sens de ces termes.
L’édifice, en trois corps, comprend un amphithéâtre au centre, de même qu’une terrasse d’expérimentation pour les gaz hautement toxiques.

Toutes sortes de laboratoires, de salles d’exercices et d’expériences sont disposés dans les deux ailes, y compris pour l’analyse spectrale.

L’ensemble est ventilé par une pompe hydraulique qui tourne en continu et assure un renouvellement permanent de l’air du bâtiment.

Vu de votre époque, c’est sans doute banal, voire vétuste. Mais en 1884, on était là à la pointe du progrès ! Sans jamais sacrifier à l’esthétique extérieure. J’aimais particulièrement l’entrée principale, encadrée de deux colonnes doriques et surmontée d’un sobre fronton à acrotères.

La Clinique Psychiatrique

C’est un programme important, qui s’élèvera dans l’espace compris entre les bastions 4 et 5. Émile Salomon en est à nouveau à l’architecte, selon les directives du professeur Friedrich Jolly, psychiatre et neurologue. Même si ma fille Marie possédait des dons de medium, disait-on, je ne connaissais rien non plus à ces spécialités. Mais je sais que le professeur, avant de quitter Strasbourg pour Berlin, habitait le merveilleux hôtel Livio, rue du Dôme, au-dessus de la Société alsacienne de Banque.

Contrairement aux autres pavillons, celui-ci est clôt par un mur d’enceinte. Les fenêtres pourvues de barreaux et particulièrement épaisses, les portes lisses et massives en disent suffisamment sur l’importance accordée à la sécurité des patients. Quatre-vingt-dix aliénés et trente épileptiques peuvent y être accueillis.

Hôpital civil de Strasbourg - Perspective clinique psychiatrique
Salomon — Perspective de la Clinique Psychiatrique (AVES) — A gauche, le corps central de l’institut de Chimie physiologique.
Au fond, on aperçoit les ouvrages du nouveau rempart, efficients entre 1880 et 1905.

Les différents corps de l’édifice en H permettent de bien séparer, outre les femmes et les hommes, les patients calmes et les moins calmes, voire les patients dangereux.

Comme toujours, l’amphithéâtre d’enseignement est au centre du dispositif. Il témoigne de la volonté d’enseigner les différents stades de la maladie psychiatrique, avec des patients non plus rejetés dans des asiles hors la ville, mais intégrés dans le centre-ville.

Les extérieurs sont particulièrement soignés, les différents jardins constituant des espaces de soin à part entière. Y compris une piste de quilles à disposition des malades calmes.

De nombreuses baignoires permettent de multiplier les bains. Quatre chaudières assurent une distribution constante d’eau chaude, même si deux d’entre elles tombent en panne.

Salomon a l’habitude de tout dessiner. Y compris le Direktorzimmer-Sofa ! D’une rare élégance, il faut bien l’avouer.

La Clinique Gynécologique

Dans le prolongement de la Clinique Psychiatrique, la Clinique Gynécologique vient s’installer en 1884 sur l’emplacement de l’ancien bastion 5.

Une certaine austérité se dégage de ce bâtiment, imaginé à nouveau par Albert Brion et inauguré en 1887. Le dessin idéalise la perspective. On n’a jamais assez de recul pour en apprécier les volumes, puisqu’il jouxte aussi bien la Clinique Psychiatrique — qui devrait apparaître à gauche — que le couvent-clinique des Diaconesses — à la place des plates-bandes arborées du premier plan.

Ici, Brion suit les instructions du professeur Freund. La clinique doit être à l’abri de toute pollution, bénéficier d’air, de lumière et d’autant de nature que possible. Il faut aussi séparer complètement les femmes malades de celles qui vont accoucher, elles mêmes séparées de celles qui ont accouché. Un pavillon d’isolement, construit l’année suivante par Issleiber, permet d’accueillir des patientes atteintes de fièvres puerpérales ou de cancers.

Ce bon docteur Freund habitait alors la maison arrière du 2, quai Saint-Nicolas. Certes, il aurait un peu plus de chemin à faire pour rejoindre sa nouvelle clinique — l’ancienne, rappelons le, était située à l’arrière du 7, quai Saint-Nicolas —, mais le jeu en valait la chandelle pour celui qui, le premier, avait soigné un cancer de l’utérus par voie abdominale.

L’institut de Pharmacologie

Juste après l’achèvement, en 1884, de son Palais Universitaire unanimement loué, Otto Warth s’attaque à l’institut de Pharmacologie. Il sera inauguré en 1887. A la pointe de l’ancien Bastion 4, il vient s’insérer entre l’institut d’Anatomie et le nouveau (et éphémère) rempart. Professeur à la Technische Hochschule de Karlsruhe, Warth sera aussi l’auteur de l’institut de Zoologie, sur le Nikolausring, votre boulevard de la Victoire.

Hôpital civil de Strasbourg - Institut de Pharmacologie
Warth – Perspective vers l’institut de Pharmacologie depuis le sud-est, 1884 (Technische Universität Berlin)
Actuellement, le bâtiment abrite l’institut de Physique biologique.

C’est un de mes pavillons préférés, Salomon et Brion me le pardonneront. L’arrondi adopté pour traiter l’angle et suivre le mouvement de l’ancien bastion conférait à l’ensemble une rare élégance. Hélas, je crois qu’il ne reste plus, de vos jours, que l’aile orientale, avec son espace dédié aux expériences, le reste ayant croulé sous les bombes de 1944.

Ici, Warth suit les recommandations d’Oswald Schmiedeberg, d’origine balte, considéré comme le fondateur de la pharmacologie. Non, ne me demandez pas ! C’est sûrement très compliqué. Et j’étais d’une génération qui ne voyait guère de meilleure médication qu’un bon Riesling ou, dans les cas les plus graves, un grog bien chaud.

Et donc, en 1887, on en est là :

Certes, on n’obtient pas une perspective aussi somptueuse qu’au campus de la porte des Pêcheurs. Mais un nouvel axe est créé autour de l’ancienne rue militaire des remparts. On a profité au mieux des terrains cédés par l’armée. Il reste encore deux projets incontournables qui, forcément, devront trouver leur place dans l’enceinte du vieil hôpital.

La Clinique Ophtalmologique

Il faut attendre 1889 pour démarrer le premier, la Clinique Ophtalmologique du professeur Laqueur. C’est que l’Hôpital doit en fournir le terrain, qui ne se libère qu’en 1885. Il se situe dans le prolongement de la chapelle catholique, au nord de l’institut d’Anatomie.

Hôpital civil de Strasbourg - Plan clinique ophtalmologique
Issleiber – Plan pour la Clinique Ophtalmologique (AVES)

Le projet est confié cette fois à Max Issleiber, qui est en train d’achever l’Institut de Géologie, au campus de la porte des Pêcheurs. Ici, le bâtiment est bien plus modeste, sans doute le pavillon le plus simple du nouveau complexe. Une fois de plus, un bel amphithéâtre de 100 places confirme la vocation universitaire des nouvelles cliniques.

Le professeur Laqueur, qui habite alors le très bel immeuble d’angle du quai au Sable, a trouvé là son architecte. Issleiber lui construira, en 1902, une grande villa néo-baroque, comme on en construit alors rue Twinger, au 37 allée de la Robertsau.

La Clinique Médicale

Mais il reste un projet en suspens, un des plus importants du complexe. Le docteur Kussmaul, professeur en médecine interne, le relance dès 1885 : il faut de nouveaux bâtiments modernes pour la clinique médicale, dispersée jusque là dans les possessions anciennes de l’Hôpital, surtout dans le bâtiment Mollinger. Après son départ de Strasbourg, son successeur Bernhard Naunyn relance le projet en 1891. Tous deux se relaient aussi dans la belle maison de fonction du 8, rue Sainte-Elisabeth, derrière la Clinique Chirurgicale.

Mais les études patinent, le temps qu’un terrain se libère. Or, Max Issleiber (encore lui) achève en 1895 le nouveau Lehrer Seminar de l’avenue de la Forêt Noire. Les locaux de l’École normale, au 12 rue Sainte-Elisabeth se libèrent donc et peuvent être affectés à une policlinique médicale et à la Ohren- und Zahnen Klinik , jusqu’alors réparties dans de petits bâtiments anciens que l’on peut dès lors détruire.

Onze années de patience

Pour la première fois, un vaste pavillon va être construit au sein même de l’ancien hôpital, en face de la chapelle catholique et de la façade nord de la clinique ophtalmologique, et dans le prolongement de l’ancienne pharmacie. Le projet est à nouveau confié à Otto Warth. Et quel projet !

Conçue comme un modèle de rationalité, de confort et d’hygiène, la clinique dispose de quatre salles de 25 lits, quatre autres de 10 à 12 lits, auxquelles se rajoutent des “chambres privées”. Naunyn complimentera Warth pour son œuvre qui, au contraire de la clinique chirurgicale d’Eggert, privilégie la fonctionnalité au geste architectural.

La façade principale, orientée au sud, fait davantage penser à un grand hôtel ou à un sanatorium de luxe qu’à un hôpital. Mais les briques de couleur qui parent les étages ont tendance, selon moi, à l’alourdir quelque peu. Alors, hôtel de luxe, ministère ou caserne ?

L’aile ouest, plus courte que l’aile est, vient buter contre la propriété du couvent des Sœurs de Marie Réparatrice.

Onze ans de patience auront été nécessaires au professeur Naunyn avant l’inauguration en 1902. En 1888, il avait pourtant conditionné sa venue à Strasbourg à la construction d’une nouvelle clinique. Mais il se dit que des rivalités avec l’inflluent von Recklinghausen — vous vous souvenez, le patron de l’institut d’Anatomie — ont considérablement ralenti le démarrage des travaux.

Hôpital civil de Strasbourg -  clinique médicale
La Clinique Médicale et, en face, la chapelle catholique et le bâtiment Mollinger
Hôpital civil de Strasbourg - Plan clinique médicale
Plan du rez-de-chaussée de la Clinique Médicale, avec son grand amphithéâtre au centre (AVES)

De tous les édifices que nous venons d’évoquer ensemble, c’est le seul dont vous ne pouvez plus rien voir. Déjà considérablement défiguré dans les années 1950, il a été détruit en 2013. Il cède sa place à une chose noire pleine de malfaçons.

L’Hôpital civil de Strasbourg en 1901

Ainsi, une dizaine de nouveau pavillons constituaient le nouveau complexe hospitalo-universitaire. Sortis de terre en un quart de siècle, sous la houlette de cinq architectes (Eggert, Brion, Salomon, Warth, Issleiber), ils offraient une certaine unité stylistique. L’inspiration Renaissance italienne donnait une cohérence à un ensemble dont la lisibilité urbanistique semblait moins évidente qu’au campus de la porte des Pêcheurs.

Contrairement à la conception de ce dernier, deux architectes strasbourgeois avaient intégré le projet, et brillamment. En revanche, tous les directeurs d’instituts ou de cliniques étaient allemands, sans exception. L’Hôpital civil et la Faculté de médecine étaient désormais à la pointe du progrès.

En bleu, les pavillons issus de la première extension encore intacts, en rouge ceux détruits ou modifiés.
Les flèches jaunes indiquent les demeures des professeurs Kussmaul et Naunyn, Hoppe-Seyler et Freund

Dès 1904, le rachat par la Ville des terrains encore aux mains de l’Armée permettra une deuxième phase d’extension de l’Hôpital civil de Strasbourg. Elle sera encore bien plus conséquente. Mais j’étais vieux et mes déplacements se faisaient plus rares. Alors je laisserai mon fils Auguste vous en parler bientôt.

Comme une plume

Antoine Wendling, biographe rédacteur

Références pour la place de l’Hôpital à Strasbourg :
Toujours l’incontournable et précieux https://www.archi-wiki.org
Et celui des Archives de la Ville et de l’Eurométropole de Strasbourg : https://archives.strasbourg.eu/
Foessel, Klein, Ludmann, Faure — Strasbourg, panorama monumental — Mémoire d’Alsace
Jean-Marie Le Minor – Les Hôpitaux de Strasbourg – Mémoires en Images – Éditions Alan Sutton
Jonas, Gerard, Denis, Weidmann — Strasbourg, capitale du Reichsland Alsace-Lorraine et sa nouvelle université — Oberlin
La Neustadt de Strasbourg, un laboratoire urbain – Éditions Lieux-Dits

6 réponses à “L’Hôpital civil de Strasbourg”

  1. […] autour de l’hôpital, l’espace n’est pas suffisant. On décide donc très vite de séparer la médecine des autres disciplines, et de consacrer à ces dernières le nouveau campus.Au Nord-Est, au-delà du Pont Royal et de la […]

  2. Avatar de Giuca
    Giuca

    Eh oui j’y ai travaillé pendant quasi 25 ans .10 ans en chir.A,
    10 ans en Méd.A ,2 ans en Méd.B et 3 ans au Pavillon Schutzenberger à la Robertsau.Que de bons souvenirs. !! Avant de rejoindre la clinique Ste Odile à Neudorf et maintenant à Rhena.

  3. Avatar de Antoine Wendling

    Toute une carrière au service de la santé des autres. Cela inspire un infini respect.

  4. […] Découvrir l’article […]

  5. […] dans le même secteur que l’Hôpital civil serait cohérente. Mais les militaires refusent le démantèlement du front Sud, beaucoup trop […]

  6. […] y a peu de temps, papa vous a entretenu de l’implantation de la Faculté de Médecine allemande dans l’Hôpital civil de Strasbourg. Pendant sa vieillesse, tandis qu’il se déplaçait […]

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