La place Brant à Strasbourg

Elle est un peu curieuse, la place Brant à Strasbourg. Fidèle au dessin imaginée par Conrath dès 1878, on a pourtant du mal à en saisir la globalité. Sans doute parce qu’on y passe sans s’y arrêter. Son rôle de carrefour majeur de grands axes de la Neustadt ne la destine pas à la promenade bucolique. On a tellement peur de se faire renverser par un des multiples moyens de transport qui la traversent en tout sens qu’on a tendance, en esprit, à la déplacer vers le secteur plus calme du café éponyme.

Antoine Wendling
Antoine Wendling, vers 1905

Pour celles et ceux qui ne me connaissent pas encore,
je suis Antoine Wendling, architecte strasbourgeois né en 1828.
Je raconte dans ces pages quelques souvenirs de ma vie professionnelle ou familiale dans la capitale alsacienne que j’ai tant aimée.
En suivant ces liens, vous pouvez mieux nous connaître, moi et ma petite famille.

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La place Brant carrefour

À gauche du Palais Universitaire tout neuf et de la Germania en chantier, s’esquisse une partie du tracé de la place Sébastien Brant. Le seul immeuble alors debout n’en fait pas réellement partie, puisqu’il s’agit du numéro 1 de la future Scharzwwaldstrasse, l’avenue de la Forêt-Noire. Le numéro 1 de la nouvelle place, lui, viendra se nicher dans le virage de jonction entre la place de l’Université et la place Brant.

Place Brant se croiseront deux axes majeurs : l’axe sud-nord qui reliera la vieille ville et l’Université à l’Orangerie ; le grand axe ouest-est, depuis la porte de Schiltigheim (place de Haguenau) jusqu’à la porte de Kehl. À gauche de la pharmacie du 1, avenue de la Forêt-Noire, on voit se dessiner une diagonale appelée à desservir le quartier de l’Orangerie et à rejoindre la Kanal Thor : c’est la rue Schweighaeuser.

En fait, ce grand carrefour aura une forme de losange prolongé d’une portion d’allée au sud. Mais si on suit les bâtiments adressés place Brant, le résultat est très biscornu.

Pour bien faire, il faudrait se positionner juste au milieu du carrefour et tourner lentement sur soi-même. Ce que je ne vous conseille pas, si vous tenez à la vie.

Double abus de langage, puisque, au départ, il ne s’agit pas d’une pharmacie, et que son adresse est au 1, avenue de la Forêt-Noire. Mais c’est bien le premier édifice de notre losange. Il est construit par un des acteurs et futur habitant de la place, Otto Back. Non pas le maire, l’architecte.

Nous l’avons déjà rencontré. C’est l’architecte de la Direction des Douanes sur l’axe impérial. Ou encore de la villa Brentano, sur le boulevard de l’Orangerie. Ici, il s’agit d’une des premières constructions de cet originaire de Meersburg, qui aura une belle carrière à Strasbourg.

Il bâtit cette jolie maison en 1881 pour Jean Treser, un rentier. Ce dernier devait se sentir bien isolé au départ, si l’on excepte son voisin du numéro 3, le Regierungsrath Leÿdhecker. Il travaille justement à la direction des Douanes et a fait construire sa villa par le même Otto Back.

Plus tard, en 1899, Kuder et Muller, les futurs architectes du Palais des Fêtes, modifieront considérablement le rez-de-chaussée pour y installer une officine de pharmacie. C’était amusant de voir comment l’Art Nouveau se frayait un chemin dans les devantures de magasin.

Pivotons d’un quart de tour. Aux alentours de 1888, on tombait alors sur :

De vos jours, il ne reste que la partie centrale, le 8 place Brant…

Ce grand ensemble était la partie visible depuis la place Brant d’un véritable complexe immobilier. Un consortium de notables alsaciens, financiers, assureurs, investisseurs, s’était constitué en Strassburger Bauverein. Ils voulaient profiter du plan d’extension de la ville et avaient acheté des terrains dès 1879.

Ainsi, sur les parcelles 131, 132 et 134, une grosse vingtaine d’immeubles et de villas allaient sortir de terre. La presque totalité de la rue Goethe serait la propriété de la société, éclaboussée par un scandale financier en 1892.

Tout l’ensemble vers la place Brant est construit par Petiti-Klotz — je pensais avec émotion à mon défunt témoin de mariage, Henri Klotz —, alors dirigé par Gustave Petiti, le fils de mon maître Eugène, et Georges Kirchmann.

Tous ces immeubles ont en commun un style assez éclectique. Il mêle le classicisme des arcades à la Blondel avec des oriels alsaciens et des toitures plus proches de la Renaissance allemande. De quoi contenter tout le monde. Inaugurant une forme de rationalisation, un même plan sert pour plusieurs immeubles. Ainsi le 4 avenue de la Forêt Noire et le 7 place Brant sont jumeaux, de même que le 2 avenue de la Forêt Noire et le 8 place Brant. Ces deux derniers forment les angles aigus de la place.

Tous ne s’élèvent que de deux étages sur un rez-de-chaussée. Les oriels ont une fonction d’articulation des angles aigus et alternent avec des balcons ouverts. Influences germaniques et françaises se mêlent. Les encadrements de fenêtres sont partout du même grès rose.

Chacun des immeubles abrite trois appartements d’une taille respectable.

Ainsi, au rez-de-chaussée du numéro 7 habitait le General-Major Freiherr Roeder von Duisbourg (en retraite), gendre du général von Werder, le bourreau de Strasbourg en 1870. Ces grands appartements attiraient surtout des militaires et des hauts fonctionnaires vieux-allemands. Ce n’est que plus tard, en 1905, que le rez-de-chaussée du 8 sera transformé en commerces.

C’est Jean-Jacques Perret qui se chargera des travaux. Nous l’avions déjà rencontré rue Twinger, construisant un immeuble d’angle pour le compte de la Strassburger Baugesellschaft.

Ici, il divise le volume en trois magasins. Au départ, l’un sera occupé par une épicerie, le deuxième par un marchand de cycles et le dernier par un négociant en peintures et produits chimiques. De vos jours, un coiffeur réputé occupe la partie gauche depuis 75 ans !

À droite de ce numéro 8 s’élevait l’immeuble le plus intéressant de l’ensemble. Vous vous souvenez de notre vue d’oiseau sur le chantier de la Germania ?

À droite du Palais Universitaire, au coin de la rue Grandidier, Gustave Petiti avait construit, en 1883, un très bel immeuble d’angle avec une rotonde à dôme, tout à fait dans l’esprit “Beaux-Arts” parisien.

Symétriquement, au coin de la place Brant et de la rue Goethe, le même Petiti propose un immeuble pourvu d’une rotonde d’angle comparable, mais dans un esprit plus Renaissance. Les deux se répondent. La construction finale s’avéra très soignée, finalement plus classique que prévu, presque identique à son pendant de la rue Grandidier.

Strasbourg - Élévation 1 rue Goethe
Élévation pour le 1 rue Goethe, à l’angle avec la place Brant (AVES)

Ce qui rend d’autant plus incompréhensible sa destruction en 1970, et son remplacement par cette chose cubique au voisinage immédiat du Palais Universitaire.

Plus généralement, notre pauvre numéro 8 est bien le seul survivant d’un ensemble qui avait toute son homogénéité et dont on peine à comprendre le sacrifice.

La parcelle 83

Nous sommes toujours au beau milieu de la place Brant. Un tram, pressé de tourner vers l’allée de la Robertsau, vient de nous frôler. Après un nouveau quart de tour vers la droite, nous tombons sur l’îlot situé entre la place de l’Université, la place Brant et le quai du maire Dietrich. C’est la parcelle 83.

Sur le quai, aux numéros 4, 5 et 6, Kirchenbauer et Seufert achèveront bientôt, en 1892, un ensemble d’immeubles de standing assez ostentatoires. Ils viendront s’adosser, au nord, à un grand bâtiment qui nous fait face, construit en même temps que ses vis-à-vis de la Strassburger Bauverein.

Deux financiers israélites, Karminsky et Cahn, se partagent la presque totalité de la parcelle. Karminsky revendra une partie rapidement. Peut-être parce qu’il était impliqué dans le scandale de la Strassburger Bauverein ?

Ce Karminsky a donc demandé aux mêmes Kirchenbauer et Seufert, dès 1887, la construction d’un grand immeuble de rapport sur l’une des plus belles faces de la nouvelle place Brant – si ce n’est qu’elle s’expose au nord-est. Dès la fin des travaux, le financier vend l’édifice à la veuve Otto, rentière.

C’est donc le premier immeuble de la place Brant. Il en détermine le standing, entièrement construit en pierre de taille, élégant, pas trop démonstratif. À l’origine, le monumental oriel d’angle était surmonté d’une flèche, comme la plupart des toitures prestigieuses.

Les vastes appartements attirent des professeurs de l’université toute proche, tels le mathématicien Theodor Reye, spécialisé en géométrie, ou le géologue Hugo Bückling. Ce dernier prend avec bonheur la direction du nouvel institut de Minéralogie, dont les travaux s’achèvent en 1890.

Sur le morceau resté libre, Berninger et Krafft élèvent en 1896 un hôtel particulier des plus classiques, avec remise et écurie. Ils le construisent pour les négociants Weber et Schlumberger qui l’occuperont en entier. Et l’on constate à quel point les deux architectes étaient encore bien éloignés du virage “Art Nouveau” qu’ils négocieront deux ans plus tard avec le grand magasin Knopf !

Monsieur Cahn s’est lui aussi séparé de son terrain, au profit d’un pâtissier, Gustave Schlagdenhaufen, aux affaires visiblement florissantes ! Son magasin partagera désormais avec un commerce de fruits et légumes le rez-de-chaussée d’un grand immeuble de rapport achevé en 1898 par un prolifique collègue badois, Heinrich Emmerich. Il a bâti une série de maisons classiques rue de l’Université, avant de s’attaquer à des immeubles plus imposants, notamment dans la Manteuffelstrasse, votre rue du Maréchal Foch.

Ce grand ensemble en pierre de taille mêle à une tournure assez classique des références à la Renaissance germanique. Le bel oriel d’angle, ouvert au dernier niveau, se pare de vitraux aux autres.

Le partage des surfaces s’oriente tout entier vers l’empire du pâtissier. Comme vous le voyez, on pouvait à l’époque boire du vin dans un établissement de ce genre. Mais le Wein Salon, séparé du Damen Salon, provoquerait sans doute bien des étranglements de vos jours !

Il faudra attendre quelques années pour que la dernière face de notre losange s’anime. Mais la patience a ses vertus ! Tandis que la nouvelle place Brant s’est parée d’immeubles de rapport au sud, vers l’Université et la ville, son côté nord annoncera les villas somptueuses de l’Illstaden, votre quai Rouget de l’Isle, et celles qui ont commencé à essaimer allée de la Robertsau.

La villa Doirisse, 5 et 6 place Brant

Le plus bel emplacement, c’est une veuve qui en fait l’acquisition. Je n’ai jamais clairement compris d’où lui venait l’assise financière qui lui permettra de faire construire une villa double aussi somptueuse. Son défunt mari, prématurément disparu à 48 ans, exerçait la profession de commerçant à Forbach. Toujours est-il que la veuve Doirisse demande en septembre 1903 à Richshoffer la construction de deux villas. Celle de droite, pour elle-même, est prioritaire. Celle de gauche, pour son fils, un peu moins pressée.

Armand Richshoffer, nous l’avons déjà croisé. Suivant le même parcours que moi, il avait d’abord été conducteur de travaux pour la ville de Strasbourg, avant d’ouvrir son propre cabinet d’architecte. Il sera très actif à la fin de ma vie, notamment au début de l’allée de la Robertsau et quai Rouget de l’Isle.

Ce qu’il propose ici en première intention est proprement.. ébouriffant ! La villa de la veuve, d’un beau classicisme Louis XVI, devait jouxter celle du fils, complètement différente, à la fois régionaliste et Renaissance germanique. Le jeune homme, alors âgé de 23 ans, avait-il vraiment ce goût-là ? Était-ce une idée de Richshoffer ? Ou de la veuve ? Loin de moi l’idée de critiquer le jeune Eugène Doirisse !

Les Doirisse entrent dans la famille

Quelques années plus tard, le 31 mars 1910, il épousera ma petite-nièce Yvonne, fille de ma nièce Marie Schauffler et de son mari Virgile Meyer. Marie et Virgile, ancien banquier et rentier, habitaient alors au 32, avenue de la Forêt-Noire. Quant au frère de Marie, mon neveu Théodore, nous l’avons déjà souvent évoqué au 74, allée de la Robertsau.

Strasbourg - Projet 1er étage 5 et 6 place Brant
Projet 1er étage 5 et 6 place Brant (AVES)

Les plans du projet initial montrent des dispositions intéressantes. La veuve Doirisse, sentant l’âge venir, prévoit toutes ses commodités au rez-de-chaussée. Ce qui n’est pas le cas chez son fils. Quoiqu’il en soit, le projet fut retoqué en raison de cours trop exiguës. Ce qui permit de revenir à la raison et de construire finalement deux villas jumelles.

Strasbourg - Élévation 5-6 place Brant
Élévation définitive pour la villa-double 5-6 place Brant (AVES)

La chose ne traîna pas puisque l’ensemble fut achevé fin 1904. Finalement, Eugène Doirisse partagea le numéro 6 avec sa maman jusqu’à son mariage. Le numéro 5 voisin fut loué à Julius Oppenheimer, un des dirigeants des tanneries de Lingolsheim. Il l’occupa jusqu’à ce qu’il se fasse construire sa somptueuse villa de la Mannheimer Strasse, votre rue de Verdun.

Quant à Eugène Doirisse, un avenir radieux s’ouvrait devant lui. Après avoir hérité d’une partie des possessions Schauffler, il reprit le magasin de vêtements de mon cher et regretté beau-frère Camille, place Gutenberg. Puis il devint l’un des directeurs des Magasins Modernes, vos actuelles Galeries Lafayette.

Et la villa Doirisse ? Disons simplement qu’elle est restée très belle…

La villa Kieffer, 1 allée de la Robertsau

Au même moment, toujours en 1904, le même Richshoffer construit à droite de la villa Doirisse un ravissant pavillon. D’un style comparable, mais avec des touches plus baroques, il est destiné à Fritz Kieffer. La parcelle est étroite et le voisinage du monumental immeuble du numéro 3, construit l’année suivante par Wilhelm Wolff, un peu écrasant. Mais cela n’enlève rien au charme de cette belle villa à la Française.

Rien d’étonnant de la part de l’impressionnant Fritz Kieffer. Il avait épousé la fille de Charles Fischbach, le directeur de l’Imprimerie alsacienne. À la mort de son beau-père, il en prendra la direction avec son beau-frère Gustave Fischbach, l’auteur du fameux livre sur le siège de Strasbourg. Fervent francophile, Kieffer fait partie des repas du Kunschthaafe d’Auguste Michel. Dans sa villa, vous le voyez sur le plan, il réserve une vaste pièce pour sa célèbre collection d’armes et d’uniformes français.

La villa Back, 4 place Brant

Tandis que Fritz Beblo construit en 1906 le Vogesenbrücke et le Scharzwaldbrücke, les deux ponts qui concrétisent enfin le grand axe ouest-est, nous retrouvons Otto Back, l’architecte-entrepreneur.

Il s’est réservé une superbe parcelle, à la pointe est de la place Brant et au coin de l’Illstaden. La villa qu’il projette d’y construire sera visible de loin pour sa façade ouest et sa façade sud. Il promet donc une conception très soignée, avec des surfaces qu’il souhaite optimiser pour sa propre famille.

Seulement, son projet initial va trop loin vers la villa Doirisse et ne ménage pas une cour suffisante aux yeux de la municipalité. Finalement, en juillet 1906, Back confie le projet à Brion et Haug, les auteurs de tant d’immeubles strasbourgeois. Back a déjà collaboré avec eux pour la construction de la Maison Rouge, place Kléber.

Strasbourg - 4, place Brant - Projet initial
Projet initial d’Otto Back pour la façade arrière (AVES)

Tandis que le projet de Back partait un peu dans toutes les directions stylistiques, Brion et Haug recentrent l’ensemble — si l’on peut dire — sur un néo-baroque mâtiné de quelques touches d’Art Nouveau.

La demeure est spectaculaire ! Signal d’entrée du quai comme de la place, sa fine rotonde d’angle, élégante, pourvue de vitraux bleus en son sommet, donne une signature à la parcelle. Différentes par leurs styles, les trois villas s’unissent par la blondeur de la pierre de taille utilisée.

Back a dû renoncer à un peu de surface à l’arrière, mais les trois niveaux offrent encore de vastes espaces pour une famille de quatre personnes !

Strasbourg - 4 place Brant
La façade vers la place Brant (AW)
Strasbourg - 4 place Brant
L’entrée sur la façade arrière (AW)

La place Brant, emblème de la Neustadt

Ainsi, sur une période de trente ans, cette place Sébastien Brant, du nom de l’humaniste de Strasbourg, montre un visage révélateur de bien des aspects de la nouvelle ville “allemande”.

Elle mêle des investisseurs allemands et alsaciens, qui emploient indistinctement des architectes alsaciens ou allemands. Les habitants reflètent les deux origines et vont de la plus grande fidélité à l’empereur — militaires et hauts fonctionnaires — aux notables les plus francophiles, avec Fritz Kieffer.

Alors, quand vous pestez dans les encombrements en venant de Kehl ou de la place de Haguenau, levez les yeux vers ces belles façades auxquelles on ne prête pas forcément attention. Allez à pied vers l’Orangerie par le quai Rouget de l’Isle et revenez par l’allée de la Robertsau. Flânez le nez en l’air et essayez d’imaginer les immeubles disparus de la Strassburger Bauverein…

Comme une plume

Antoine Wendling, biographe rédacteur

Références pour la place Brant à Strasbourg :
Toujours l’incontournable et précieux https://www.archi-wiki.org
Et celui des Archives de la Ville et de l’Eurométropole de Strasbourg : https://archives.strasbourg.eu/

3 réponses à “La place Brant à Strasbourg”

  1. Avatar de Jean Claude Dillmann
    Jean Claude Dillmann

    C’est un plaisir, à chaque fois renouvelé, de pouvoir ainsi replonger dans le Strasbourg historique.Votre érudition associée aux illustrations sont une mine d’or pour le collectionneur de cartes postales anciennes que je suis.
    Un grand bravo et merci.
    Jean Claude Dillmann

  2. Avatar de Antoine Wendling

    Merci pour votre bienveillance ! Surtout, n’hésitez pas à me signaler des vues que je n’aurais pas.
    Par exemple, cette satanée villa du 2, allée de la Robertsau, qui se cache obstinément derrière un grand arbre…
    Merci à vous,
    Antoine Wendling

  3. […] évoqué l’architecte Otto Back et la grande villa qu’il s’est construite place Brant. Mais pour moi, je l’assimile bien davantage aux « chalets » qu’il avait […]

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